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De Rémi sans famille à Spider-Man, des histoires mythiques revisitées dans les salles obscures

Le mercredi, jour des enfants selon l’adage, mais aussi jour d’accueil des petits-enfants chez beaucoup de grands-parents, jour propice à partager des activités, jour pour revisiter ensemble des références culturelles. Ce 12 décembre 2018, à l’approche des vacances scolaires de Noël, l’industrie du cinéma s’est activée à sortir des cartons des « bons » films à découvrir en famille. Dans le long métrage au titre évocateur, Rémi sans famille, le réalisateur Français Antoine Blossier adapte le dessin-animé japonais des années 70’-80’ dans un genre « E.T. et Les Goonies », les films de son enfance explique-t-il. Il mêle les costumes d’époque aux vastes paysages de l’Occitanie où le film a été tourné. Dans ses aventures, le jeune Rémi, interprété par le petit Maleaume Paquin, est recueilli par la douce Madame Barberin, interprétée par Virginie Ledoyen. A ses 10 ans, il sera séparé de sa mère adoptive et confié au Signor Vitalis, un mystérieux musicien ambulant incarné par Daniel Auteuil avec qui, il s’initiera à la rude vie de saltimbanque et au chant pour gagner sa vie.

Dans le genre aventure fantastique, le mythique super-héro Spider-Man est de retour dans le film américain d’animation Spider-Man New Generation réalisé par Bob Persichetti, Peter Ramsey, Rodney Rothman. Durant près de deux heures, des personnages loufoques et pour certains, inédits partagent, cette fois, les péripéties de la fameuse araignée au costume rouge et bleu déambulant à travers les rues de New-York. Miles Morales, le lycéen de Brooklyn va devoir s’unir avec ses cinq avatars pour vaincre le tout-puissant Caïd déterminé à détruire New-York et ramener chaque Spider-Man dans sa dimension respective.

Les salles obscures n’oublient pas les enfants plus jeunes dès 3 ans. Dans un ton naturellement plus léger et un temps moins long – 1h27 – Oscar et le monde des chats du réalisateur Chinois Gary Wang propose le voyage initiatique d’Oscar, un chaton qui ambitionne d’explorer d’autres horizons que celui de la vie de son père, Léon, un gros chat d’appartement. Le petit félin croit en l’existence de Catstopia, un monde merveilleux où vivent les chats. Monté en images de synthèses, ce film d’animation ne manque pas de faire sursauter toutes les générations !